La violence conjugale est devenue de plus en plus fréquente de nos jours. Malheureusement, nombreuses sont encore les personnes qui décident de garder le silence ou de ne pas porter plainte sous prétexte d’éviter de longues procédures judiciaires. Ou encore pour se protéger et protéger ses enfants. Et pourtant, elle peut s’aggraver au fil du temps. Il existe plusieurs causes qui incitent une personne à maltraiter sa famille si on ne cite que la dépression, le manque d’argent, le manque d’estime de soi, la jalousie, la culpabilité, la toxicomanie, l’état suicidaire, le manque d’affection ou la maltraitance durant l’enfance.
Les séquelles de la violence conjugale sur la victime
La lésion cérébrale traumatique est la conséquence majeure de la violence physique. C’est une cause fréquente de décès et de handicap. Beaucoup de victimes se présentent avec des hématomes, des contusions, des brulures ou des morsures. Cela parait incroyable, mais c’est un fait malheureux fait qui se produit tous les jours à l’abri des regards des autres. Les violences conjugales ne sont pas seulement physiques, elle peut aussi être psychologique, sexuelle ou économique. Pour une vie de famille plus harmonieuse, rendez-vous sur Le Mag de la Famille. Vous y trouverez des articles sur des faits de la vie quotidienne qui sont susceptibles de vous arriver un jour ou que vous vivez actuellement dont vous cherchez des réponses.
Que faut-il faire ?
Souvent, la victime est liée sentimentalement à l’agresseur, voilà pourquoi elle ne porte pas plainte. Peu importe le genre de relation qu’ils ont, toute agression est punie par la loi. Toutefois, il est important de préciser que les hommes autant que les femmes peuvent être touchés par toutes ces formes de violences conjugales. Si vous vous trouvez dans cette situation, dite – vous que plusieurs mesures de protection s’offrent à vous. Les mesures de protection conjugale sont nombreuses si on ne cite que l’interdiction à l’auteur de vous contacter, la dissimulation de votre domicile et la prononciation d’une admission provisoire à l’aide juridictionnelle. Effectivement, dans les cas plus graves le juge aux affaires familiales peut délivrer en urgence à la victime une ordonnance de protection approchée.
